» Durant la journée que nous avons passée au festival premiers plans, nous avons pu visionner cinq films dont un dessin animé et trois courts métrages. Celui qui s’est révélé à mes yeux être le plus intéressant est celui de Dagur Kari «Noi Albinoi». Il s’agit de l’histoire d’un adolescent qui se prénomme Noi vivant en Islande, paysage reflétant la personnalité du personnage principal: un albinos, d’un caractère plutôt solitaire et rêveur. Les répétitions des scènes du films marquent à mon avis parfaitement la lassitude de son existence, le personnage étant lui même perdu, et spectateur dans un décor vide et travaillé de façon à révéler l’isolement du jeune homme. Il subit l’alcoolisme de son père, l’ennui de son quotidien et ne supporte pas l’école. Paraissant voué à l’échec, Noi cause la curiosité du spectateur qui espère néanmoins un dénouement heureux à cette histoire, du moins c’est ce à quoi je m’attendais avant d’assister à la fin du film. En effet, un jour, un événement vient bouleverser sa vie, il fait la rencontre d’Iris, une jeune fille qui va le motiver à tout quitter et à changer radicalement de vie. Mais rien ne va se dérouler comme il l’avait prévu et c’est après cette déception que le film se termine de façon dramatique. La fin heureuse tant attendue ne verra jamais le jour puisque suite à une catastrophe, tous les personnages faisant parti de l’entourage de Noi vont perdre la vie tragiquement. Une fin plutôt surprenante qui paraît attristante et décevante mais qui se révèle un effet de surprise conséquent marquant un arrêt dans la monotonie du film. Pendant une heure et demie, les sentiments sont variables, il s’agit tout d’abord de surprise dans les habitudes d jeune homme, parfois passant par le rire, puis de joie à l’égard de Noi et enfin de tristesse et compassion quand arrive la chute du film. J’ai trouvée l’organisation des scènes ainsi que les tournage très intéressant, les filtres et le style utilisé n’étant pas courant, ils nous ont permis d’être plongés dans le récit sans pouvoir s’en détacher. Il m’a été impossible de ne pas vouer un attachement au personnage même si celui-ci semblait pourtant peu sociable. Enfin, je pense que j’ai surtout apprécié ce film puisqu’il est question d’un adolescent dont l’âge est proche du mien et que l’on peut se placer dans la peau du personnage, rendant le récit réaliste et d’autant plus touchant ».
- Un petit Fauve de bronze au festival de BD d’ Angoulême pour Chloé Joiris
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