Lycée Henri Bergson

Lycée Enseignt General Et Technologique – Angers

Pays de la Loire
Sélectionnez une page

« Le 17 mai est la Journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie. Cette date doit devenir dans les établissements scolaires un moment fort de solidarité avec les jeunes LGBT, de visibilité et de réflexion autour des questions relatives à l’orientation et à l’identité sexuelles, et un point d’orgue – pour l’ensemble de la communauté éducative – de la lutte contre l’homophobie et la transphobie« .

I) Une campagne nationale de prévention : « Collèges et lycées engagés contre l’homophobie et la transphobie : tous égaux, tous alliés »

Comme l’indique EDUSCOL : »L’homophobie et la transphobie touchent à l’École de nombreux élèves : les jeunes identifiés comme gays, lesbiennes, bi ou trans (LGBT) – qu’ils le soient ou non – mais aussi les élèves qui s’écartent de la norme de leur sexe ou encore les enfants de familles homoparentales« . (…)  » A l’école, du fait de leur orientation ou de leur identité sexuelles, des élèves ou des adultes peuvent être victimes d’actes à caractère discriminatoire et de violences qui tombent sous le coup de la loi. En effet, les discriminations homophobes et transphobes constituent des délits passibles de sanctions pénales (article L.225-1 du code pénall) »

Télécharger le guide d’accompagnement de la campagne à destination des personnels des établissements scolaires dont le texte suivant est extrait : « Depuis 2005, chaque 17 mai  lieu la Journée mondiale de lutte contre l’homophobie et la transphobie. Cette date symbolique a été choisie pour commémorer la décision de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) de 1990 de supprimer l’homosexualité de la liste des maladies mentales. Cette journée, célébrée dans plusieurs dizaines de pays à travers le monde, a pour but de dénoncer toutes les discriminations faites aux personnes LGBT et de promouvoir les actions de sensibilisation »

  • Les témoignages vidéo de quatre jeunes – Estelle, Johann, Louis et Sohan – qui racontent leur expérience scolaire : sans faire l’impasse sur l’homophobie et/ou a transphobie qu’ils et elles ont eu à affronter, leurs récits mettent l’accent sur ce qui permet d’en prévenir les manifestations et d’améliorer le climat scolaire pour tous et toutes.
.

II) « Baisers cachés » (France 2) : le téléfilm qui s’attaque à l’homophobie.

Téléfilm « Baisers cachés » sur France 2, mercredi 12 mai à 21h05. Téléfilm dramatique – 1h30min. France – 2015.Réalisé par Didier Bivel : « Nathan, 16 ans, vit seul avec son père Stéphane, policier. Au cours d’une soirée, il est photographié en train d’embrasser un garçon, Louis. Lorsque le cliché est diffusé sur Facebook, Stéphane découvre l’homosexualité de son fils. Nathan prétend qu’il s’agissait d’une blague destinée à faire rire les filles. Mais il devient bientôt la cible de brimades et de violences au lycée tandis que Louis, le jeune homme dont il est amoureux, refuse de lui parler ». Lien

III) Rainboweek 2019 : « Des lycéens contre la  » LGBT » phobie »

Dans le cadre de la « Rainboweek » ( semaine de lutte contre l’homophobie et les violences envers la communauté LGBT) organisée du 13 au 18 mai 2019 au sein de 6 lycées publics et de l’Université d’Angers, le lycée a accueilli une table ronde sur le thème   » Harcèlement et banalisation des insultes envers les personnes LGBT » le mardi matin et un débat  » La France devrait elle enseigner l’histoire de la lutte LGBT ? » le jeudi après midi .

Le Rainboweek s’était  ouverte le lundi 13 mai 2019 (9 h 30 à 12 h 30) à la Faculté de Santé par une conférence ouverte à tous sur l’histoire des luttes LGBT donnée par Robin Drevet, un membre d’Act Up Paris.

Cette semaine, co organisée par les  Conseils de la Vie Lycéenne ( CVL)  du lycée Henri Bergson et  des 5 autres lycées publics,  a fait l’objet d’un article dans le Courrier de l’Ouest, lundi 07 mai 2019 :« Angers. Des lycéens contre la « LGBT » phobie. Du 13 au 18 mai 2019, lors de la Rainboweek, ces lycéens iront à la rencontre de leurs camarades pour les sensibiliser aux questions de discrimination à l’égard des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres ». Lien