Gabrielle
J’ai commencé mon année en prépa à Bergson sans savoir vraiment dans quel domaine je souhaitais poursuivre mes études et en pensant que j’allais arrêter la classe préparatoire à la fin de cette première année. Toutefois, l’hypokhâgne a apporté un enrichissement de ma culture générale si important que j’ai décidé de poursuivre mes études en khâgne à Descartes (Tours) puis en L3 LLCER Anglais à l’université d’Angers. La classe préparatoire de Bergson a été un espace de découverte et d’apprentissage rempli de bienveillance et d’encouragement. Cette année m’a permis d’acquérir de vraies compétences méthodologiques qui facilitent grandement mon cursus à l’université. C’est là que j’ai découvert mon intérêt pour l’anglais, ce qui m’a permis d’orienter mon choix de poursuite d’études.
Enzo
L’année d’hypokhâgne passée au sein du lycée Henri Bergson à Angers est de loin la meilleure expérience qu’il m’ait été donné de vivre. L’année en tant que telle, jonchée de devoirs surveillés et de khôlles particulièrement formateurs car l’équipe pédagogique dans son entièreté commente avec attention chacun de nos devoirs, est rude certes, mais pas insurmontable, même avec des résultats justes convenable pour y accéder : en arrivant d’un lycée de campagne, si vous êtes pris, il tout à fait vraisemblable que vous réussissiez. Cette même équipe est à l’écoute des problématiques de chacun. Si l’objectif de certains est l’ENS, pour d’autres il se peut que cela ne soit qu’une volonté de préparer au mieux un parcours à l’Université, une volonté d’accéder à certaines formations ou écoles comme Sciences Po, l’Ecole du Louvre etc… Quoiqu’il en soit, l’ensemble du groupe est poussé à réaliser le meilleur travail qu’il leur est donné d’offrir.
Au terme d’une année complète, les acquis méthodologiques, l’ouverture à un niveau universitaire de chacune des matières littéraires du lycée m’ont été d’un profit difficile à mesurer, tant celui-ci est important. Ce qui est sûr, c’est que désormais à l’Université de Nantes en Histoire, je dispose d’un niveau méthodologique, d’un niveau de connaissances mais aussi d’un niveau de qualité de rédaction bien supérieurs à ceux de mes camarades, ce qui m’offre une confiance et une aisance à parcourir les dossiers, et à approfondir le travail demandé.
Lola
Je m’appelle Lola et je suis actuellement en troisième année de Licence d’Histoire dans l’objectif de devenir enseignante à mon tour. J’ai fréquenté Bergson sur l’année scolaire 2021-2022 avec en tête l’idée de préparer mes années de supérieur au mieux. Ce fut le cas puisque je suis ressortie avec une réelle méthode de travail qui, aujourd’hui plus que jamais, me permet d’envisager mes études avec sérieux. Une année qui peut sembler lourde et éprouvante mais qui apporte tellement tant sur l’aspect intellectuel que social. J’ai tissé des liens forts avec des personnes qui partagent ma vie aujourd’hui encore malgré la distance et le quotidien de chacun. Une année à Bergson c’est l’assurance de ne plus mettre de futur dans une copie, de ne plus faire de fautes d’orthographe et d’avoir des souvenirs mémorables. Merci encore pour tout ça.
Marlène
Je crois sincèrement qu’il y a un avant et un après l’Hypokhâgne. Je suis arrivée au lycée Bergson pleine de doutes et de peurs sur mes capacités. La prépa m’a prouvé chaque jour que « j’en suis capable ». Les matières sont variées, d’une richesse sans précédent et enseignées par des professeurs rigoureux et bienveillants. Je suis particulièrement heureuse d’avoir amélioré mon orthographe et mes capacités rédactionnelles qui sont indispensables pour la poursuite d’études tout comme dans la vie professionnelle et personnelle.
Mon épanouissement dans cette formation est également dû aux formidables camarades, amis que j’ai rencontrés. Nous avons partagé nos doutes, nos joies et nos peines. Certaines prépas sont très individualistes mais j’ai trouvé à Bergson de l’entraide et du soutien pour réussir tous ensemble cette première année. L’Hypokhâgne à Bergson a été pour moi une aventure académique et humaine.
Au terme de l’Hypokhâgne, j’ai fait le choix d’entrer directement en deuxième année de licence de Médiation et Gestion d’Actions Culturelles à Toulouse pour me tourner vers une formation davantage professionnalisante. La transition a été quelque peu difficile ! Néanmoins, j’ai fini par m’adapter et m’épanouir dans cette nouvelle direction. J’étudie à présent à Rome où j’effectue un semestre en Erasmus. Je prévois une poursuite d’études en Master d’ingénierie de projets culturels internationaux.